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Laurenzia Valentina
Surnom La chanceuse ; Le cul bordé de nouille ; Capitaine ; Le cafard (par ses ennemis) Genre F Naissance Prétend avoir oublié Âge 32 ans Race Humaine Psionique Profession Pirate Vaisseau Doombringer Caractéristique Physique
Taille 1.65cm Cheveux Noir Yeux Gris Peau Blanche Traits notables Borgne (ou pas?)
« Mais t'es pas morte, toi, espèce de connasse ? »
Profil psychologique
Laurenzia est au antipode de ce que l’on peut imaginer comme chef de pirate, et ce que son apparence laisse penser. En effet, de prime abord, on peut imaginer qu’elle est froide, machiavélique, sociopathe et violente.
Elle est l’absolue contraire.
La Capitaine Laurenzia Valentina est une femme excentrique, amusante et amusée, qui voit l’univers comme un terrain de jeu auquel elle participe avec joie. Diplomate et charismatique, elle cherche par tous les moyens d’éviter les conflits, quitte à faire des concessions. Mais ce n’est pas parce qu’elle est incroyablement gentille qu’il faut lui marcher sur les pieds (de toute façon, son équipage ne le permettrait pas) et lui manquer de respect.
Quelque chose de très marquant dans Laurenzia, en dehors de sa manière de bouger — très grandiloquent, surtout quand elle se présente — est sa volonté de ne jamais tuer. Son équipage a même pour ordre de ne tuer que s’ils n’ont vraiment pas le choix, exception faite des combats spatiaux où ils n’ont que (justement) rarement le choix.
La capitaine respecte profondément la Vie, et la vie des autres… Et puis, la vie serait beaucoup moins drôle si on n’a ni ennemis, ni rivaux… Et surtout, elle s’arrange pour que les autres aient une dette envers elle. Beaucoup plus simple de faire des affaires, quand l’autre sait qu’elle l’a volontairement laissé en vie.
Sa relation avec Lidakresh est… Bizarre. Laurenzia a eu beaucoup d’amants (et d’amantes) mais aucun ne ressemble à lui. Peut-être que leur caractère diamétralement opposé les attire l’un l’autre ?
En tout cas, elle éprouve un profond respect pour le photographe, qu’elle laisse régulièrement volontairement sur ses planètes infernales. Cela dit, elle n’est jamais vraiment très loin (quand elle peut), s’il a besoin d’elle et de son équipage. En riant, elle dit souvent qu’elle est son taxi… Taxi qui ne va pas forcément partout. Dans les limites des secteurs auquel elle a accès. Ouais. Bon.
La femme a tendance à parler fort, n’hésite pas à exprimer ses faiblesses (voire, en fonction de les exagérer). Elle n’a pas spécialement un énorme égo, et considère qu’elle “vibe” dans sa vie.
Elle refuse cependant certaine mission, qui touche principalement à la traite d’être humain qu’elle va considérer comme profondément dégradant et irrespectueux. Pour le reste, bien qu’elle n’apprécie pas spécialement ça, elle peut faire du trafic de drogue, d’arme, aborder n’importe quel vaisseau qui ne lui revient pas… Après tout, elle reste une pirate.
Le dernier élément, assez étrange et marquant, est sa chance quasi surnaturelle. Très peu savent qu’elle est une psionique (uniquement l’équipage dont elle est le plus proche, et Lidakresh) et comme elle utilise sa télékinésie. De fait, les rumeurs vont de bon train, et une blague récurrente est : qu’elle a trouvé le moyen de manipuler la chance pour gagner aux casinos (beaucoup l’ont banni) ou encore survivre à tout et n’importe quoi (une explosion de vaisseau, sérieusement ?).
Dernier point important : Laurenzia ayant vécu presque toute sa vie à bord de vaisseau ou station orbitale, elle est agoraphobe et n’apprécie pas spécialement le plancher des vaches.
En terme de temps libre, étant assez étrangement populaire, la femme apprécie trainer sur les réseaux sociaux (elle n’hésite pas à prendre des vidéos de ses combats, ou encore des selfies alors qu’elle vient d’assommer un quelconque rival). Elle n’aime pas spécialement l’alcool (sauf l’amasec1), et déteste tout ce qui touche aux drogues.
Dans le paysage pirate, Laurenzia est certainement la capitaine la plus étrange et excentrique à mille parsec.
Physique
En tant qu’humaine, Laurenzia n’est pas spécialement grande (surtout qu’elle a grandi principalement dans des vaisseaux) mais, pour elle, ce n’est pas un problème mais plutôt un avantage, car elle a appris à optimiser son corps et son style de combat. Elle est petite, rapide, et agile. Elle est donc relativement sèche et musclée, notamment à cause d’une vie à passer dans les combats d’abordages, de bar, et autre mission quasi-suicidaire.
La femme possède de longs cheveux noirs, souvent nattés en un chignon (essentiellement quand elle fait son noble métier), avec des yeux gris très en amandes. Sa peau est excessivement pâle, preuve qu’elle a passé la majorité de sa vie dans l’espace, sous la lumière artificielle et blafarde des plafonniers électriques. Elle a un joli visage, accentué par des traits délicats mais ferme. Seul un seul de ses yeux gris, en amande, n’est visible, encadrés par de longs cils noirs, car le deuxième est caché par un cache-œil noir.2 Ses lèvres sont fines, et son visage est complété par un nez fin et droit.
Rarement maquillée, elle privilégie des couleurs sombres et neutres, afin d’éviter de rendre son visage encore plus éthéré qu’il ne l’est déjà.
Généralement, la femme affiche une froideur analytique, avec un regard intense et énigmatique, voire une retenue émotionnelle. Mais ne vous y trompez pas. Elle est tout le contraire que ce qu’elle pourrait afficher de prime-abord.
Habituellement, la pirate sera vêtue de vêtements proches du corps, avec préférablement une combinaison ou une chemise, généralement blanc, et un pantalon simple. Étant une femme belle et attirante, elle fait régulièrement des postes sulfureux sur internet (utilisant parfois quelque photos prise par Lidakresh qu’elle aurait réussi à convaincre… Une fois ou deux) qui sont souvent très rapidement supprimé. Mais c’est la vie de pirate !
Quelque chose qu’elle garde systématiquement sur elle, par contre, et qu’elle considère comme une marque de son identité de capitaine : sa longue veste noire à l’intérieur rouge, qu’elle n’oublie jamais et dont elle ne se sépare que pour se battre.
Biographie
Spoiler
- Née dans un vaisseau de parents officiers sous le nom de Quinn Connor.
- Détectée comme Psionique et engagée de facto dans l’armée après avoir révélée ses pouvoirs.
- Probablement ennuyée par la vie de soldats, et attirée par une vraie vie libre d’aventure, elle déserte autour de ses 23-25 ans.
- Pour déserter, elle se fait passer pour morte mais aborde en réalité un vaisseau de contrebande. Aider de son charisme naturel, de son entraînement au combat de soldate PSI et d’une chance surnaturelle, elle en prend le contrôle. Dès cette époque, elle change de nom pour devenir Laurenzia Valentina.
- Au cours de ses rencontres et pérégrinations, elle change petit à petit d’apparence, en modifiant par exemple sa mâchoire, la forme de ses yeux, son nez ou encore de ses oreilles. Elle réussi même à convaincre un hacker d’effacer quelque trace de son ancienne identité.
- La vie en tant que pirate étant dangereuse, il est aujourd’hui impossible de retrouver les traces de son tout premier équipage : ils sont tous morts. Mais puisque que Laurenzia met un point d’orgue à éviter de tuer, il est très difficile de l’accuser de leur disparition.
- A partir du moment où l’identité de Laurenzia est devenue son identité, la légende rejoint la réalité. Cela dit, beaucoup de monde raconte n’importe quoi sur elle. Seul son équipage actuel connaît les véritables choses qu’elle a fait en tant que pirate au cours de la dernière décennie.
Laurenzia posa les pieds sur la table, les jambes croisés. La musique, basse, résonnait dans le bar. Elle tenait à la main un verre d’amasec qu’on venait de lui offrir, dont elle faisait tourner le liquide doré pour en apprécier la substance.
Son équipage faisait une halte dans une station, et comme souvent, la pirate s’était encore retrouvé alpagué et entrainer dans une histoire qui ne la concernait pas. Mais bon, elle ne disait jamais non à une bonne bagarre.
Mais maintenant que l’histoire était terminé, elle se trouvait dans ce bar, à boire ce verre, en discutant avec un parfait inconnu.
— D’où je viens ? Hm.
Quel mensonge allait-elle encore raconter ? Elle avait toujours la même version, qu’elle changeait et enjolivait pour les besoins du spectacle. Jamais elle ne raconterait la vérité, et elle avait elle-même oublié la majorité de ce qui la concernait. Elle avait même oublié la forme de son visage, quand elle était enfant.
— Je n’aurai pas assez d’amasec pour tout raconter ! dit-elle avec un sourire, avant de prendre une gouttelette. Pas mauvais. Mais pourrait être mieux.
La femme pris une inspiration, avant de fermer les yeux et regarder le vide. Elle cherchait surtout une histoire à raconter.
— J’suis née à bord d’une station Humaine. Bon, ça paraît évident, à première vue, hein ? Un endroit pas forcément ultra-riche. On s’empilait les uns sur les autres. Le concept même de lumière du soleil, moi pas connaître.
Elle sourit
— Je n’ai jamais vraiment aimé la vie dans ce bordel pauvre et puant, si tu me passes l’expression. Franchement, devenir ouvrière comme mes parents… Ca m’attirait pas des masses. Ce qui m’attirait, c’était l’aventure. Genre, vraiment. Je voyais tout le temps les contrebandiers et le marché noir piquer des caisses dans un des secteurs de la station… Alors quand j’ai eu seize ans, j’ai tenté ma chance. J’ai, disons, pointé le bout de mon nez après les avoir suivi. Et je les ai harcelés jusqu’à qu’il accepte de me prendre comme mécanicienne. Puis, je savais déjà me battre, alors…
Elle marque une pause, fixe la personne en face d’elle, puis prendre une gorgée.
— Nan, cherche pas à savoir qui ils étaient. Son tous morts. On va dire qu’une explosion a soufflé notre vaisseau mais que mon étoile m’a souri et j’suis la seule à y avoir survécu.
Une ombre passa sur son visage. Ce n’était pas tout à fait un mensonge. En tout cas, pas la mort de ses compagnons d’armes de l’époque.
— J’ai quand même payé le prix de mon œil ! Dit-elle en montrant son cache-œil avec fierté.
Nouvelle gorgée. Tiens, marrant, le goût s’améliorait. Ou l’effet de l’alcool, difficile à dire.
— Mes parents ? Nan, déjà cané, eux aussi. Quand j’suis montée à bord, rien ne me rattachait à la station. Les humains sont de petits êtres fragiles, n’est-ce pas ?
Elle ne perdait pas son sourire.
— D’opé’ en opé’, j’ai réussi à devenir celle que tout le monde connaît. J’ai rencontré des gens cools, des moins cools. J’ai fait des affaires incroyables, comme le casse du casino mobile, là. Franchement, tout est fun. Et puis, j’ai de la chance, comme tout le monde le sait, héhé.
Elle s’était relevée.
— Je vais pas te faire une liste de toutes les affaires, gens que j’ai tabassé ou le montant de mes comptes en banques. C’est pas un entretien d’embauche. T’façon, si ça l’était, je me recalerais.
Elle posa son verre sur la table.
— Franchement, dis-toi juste que j’suis immensément riche et que j’vais probablement pas dépasser les 40 ans en entier. Mais on n’vie qu’une fois, et si j’avais peur de mourir je ne ferais pas ce taff’.
Elle se tourna vers le barman.
— Mets ça sur ma note. Djeng, Elyze, Whilem, on s’arrache.
Elle prit sa veste, habilement posé sur son siège et le mit avant de faire demi-tour vers la porte, comme elle le faisait souvent.
Compétences
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Style de combat Corps à corps Compétences Pilotage (bon niveau) Connaissance des armes à feu Télékinésie Équipements Gants renforcés Poings américains
⌈Télékinésie⌋
L’utilisation de la télékinésie faite par Laurenzia est différente de ce que l’on a l’habitude de voir. En effet, au lieu de déployer bouclier ou autres phénomènes visibles à longue distance, elle agit avec d’une manière extrêmement précise, et invisible. À l’extérieur, elle peut se donner des petits coups de pouces (dévier une arme très légèrement, atténuer un coup) mais la majorité de son utilisation est pour renforcer ses coups. En effet, Laurenzia va créer des détonations d’énergie à l’impact, quasi-invisible. Cela donne donc une femme qui, physiquement, est extrêmement forte et qui se battra majoritairement au corps à corps. Elle n’est pourtant pas une mauvaise tireuse (malgré son absence de vision binoculaire) mais n’apprécie pas spécialement les armes.
Limites et faiblesses
Laurenzia reste une humaine, avec toutes leurs limites. Malgré son entrainement et son style de combat, il lui est difficile pour elle de battre au corps à corps certaines races (notamment les Callype, Draconite et évidemment les Elliopes), heureusement qu’elle peut compter sur son équipage dans tous les cas de figures (et sur Lidakresh, s’il est dans son entourage). Autre limites, liés à l’utilisation de son pouvoir. Puisqu’elle ne l’a d’activé que pour des points très précis, et peu visibles, il suffit de la prendre par surprise pour qu’elle n’ait pas le temps de parer le coup.
Le « Doombringer »
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Le doombringer
⌈L’équipage⌋
L’équipage du « Doombringer » est composé d’une vingtaine de personnes. Chacune a son rôle à jouer, et la hiérarchie est séparée en trois poles distincts :
- Mécanique, dirigé par théienne répondant au nom de Olivia Au Camoa (surnommée « Chab » pour une raison obscure), composé d’environ quatre personnes. Ils ont pour rôles d’éviter que le vaisseau finisse en pièce, ainsi que de réparer et réviser les équipements du groupe de combat. Ah, et c’est eux qui sont généralement aux manettes lors des batailles spatiales.
- Combat, dirigé directement par Laurenzia. C’est le pôle dont l’équipe est la moins fixe, notamment à cause des blessures et des payent. Cela dit, il y a toujours un noyau dur de cinq ou six personnes.
- Logistique, dirigé par un angonien au nom évocateur de Hibou Vorace, comptable de son état. Bien qu’ils ne prennent généralement pas part aux combats, ils sont tout aussi important que les autres pôles. C’est ce groupe qui gère le ménage, l’approvisionnement, mais aussi les soins médicaux, les finances et la cuisine.
L’équipage est très hétéroclite, avec chacun une raison de rejoindre et suivre Laurenzia.
⌈Le vaisseau⌋
Le vaisseau est suffisamment grand et confortable (Laurenzia y tient) pour accueillir un peu plus que ce son équipage compte. Ainsi, on peut déjà dénombrer (en plus de la cabine du capitaine) :
- Trois chambres individuelles, dont deux sont réservés à Olivia et à Hibou. La troisième sert aux invités “de marque” de Laurenzia. Chaque chambre est équipée de sa propre salle d’eau et de rangement, ainsi que d’un bureau repliable.
- Deux dortoirs (non-mixtes) avec six lits chacun (ils peuvent en contenir plus, mais pour gagner de la place, certains ont été supprimés). De manière évidente, personne ne dort vraiment en même temps. Les dortoirs contiennent des casiers nominatifs, mais les lits ne le sont pas. On peut noter que les dortoirs sont directement connectés aux douches (elle-même non mixte). Chaque couchette possède un écran holographique, ce qui permet les communications (et autres…) privés.
- Une cafétéria
- Un salon (dont la vue est directement sur l’espace, bien que pour préserver leurs yeux, ils ont tendance à baisser les stores…) avec différents loisirs (notamment un écran holo). La seule interdiction y est d’éviter de se battre, briser des bouteilles et fumer (surtout quand c’est la marchandise).
En outre, on dénombre :
- Le pont de commandement, qui offre une vue panoramique sur l’espace environnant à travers les écrans tactiques. Le siège de Laurenzia ainsi que de ses pilotes sont entourées de consoles de contrôles avancés, ce qui permet de contrôler les systèmes de communications et d’armement.
- La centrale énergétique, qui abrite le réacteur à fusion, dont l’accès est strictement réservé à des ingénieurs triés sur le volet, dont Olivia.
- La salle des machines, abritant toutes les consoles de diagnostics, tuyaux, les systèmes de survie (comme l’eau ou l’oxygène). Les mécaniciens qui y travaillent n’aiment pas qu’on y traine et beaucoup y laissent leurs affaires… Ainsi que leurs outils.
- Les baies d’armes, qui contient les canons lasers du Doombringer, des lancers de missiles et tous les systèmes de défense automatisés. La plupart des armes sont réparties sur tout le vaisseau, mais le canon le plus puissant se trouve en son centre, directement connecté au noyau énergétique. Sa puissance est telle qu’une fois enclenchée, toute l’énergie du vaisseau y est redirigée. Seul un tir n’est possible par heure, et le vaisseau doit être à l’arrêt pour faire son tir. Mais en face… Il ne reste généralement pas grand-chose.
- Le hangar (et le sas), qui accueille surtout les petits véhicules de chargement/déchargement, ainsi que tout un fatras indéfinissable que personnes ne sait où ranger. Les abordages sont directement faits par attraction gravitique, ce qui permet aux pirates d’entrer directement dans leur cible. C’est risqué, puisque leurs ennemis pourraient aussi les rejoindre par le sas, mais il suffit d’un bouton pour couper la connexion, et… abandonner les malandrins dans le vide spatial.
- Le centre médical, qui comme son nom l’indique, permet de soigner les blessures liées à la logistique et évidemment au combat. Il y a aussi une capsule de stase pour les cas les plus graves, mais elle n’a quasi, voire jamais servi. Point important, le médecin de bord est une angonienne nommée Corail Généreux.
- Salle de briefing : Une salle spécieuse spécifiquement dédiée aux réunions stratégiques, équipée d’une table à holo, où les différents chefs de pôles peuvent discuter.
Petit point sur la cabine de Laurenzia. En plus de la plus grande couchette (ironique connaissant la taille de la capitaine), elle possède son propre salon privé… Et minifrigo. Ainsi qu’un écran holo privé et différentes consoles de loisirs.
Trivia
- Thèmes :
Footnotes
-
Une sorte de vin de paille. Je vous conseille de goûter. Très bon et sucré. ↩
-
Personne ne sait si elle est réellement borgne ou si seulement son œil est d’une couleur différente. En tout cas, si on lui retire son cache-œil, l’œil est beaucoup plus clair, mais elle n’éprouve aucune difficulté à l’ouvrir ou le fermer. Est-ce qu’elle voit, par contre ? Difficile à dire. ↩